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NOUVEAUTÉ

Cours intensifs en binôme par Zones anatomiques !

Vous aimeriez prendre d’avantage soin de :

– votre nuque et vos épaules,

– votre bas du dos,

– vos hanche,

– vos genoux et l’axe de la jambe,

Ces 4 zones du corps sont des « terrains sensibles » pour grand nombre d’entre nous !

10 séances d’une heures consacrées à une zone vous permettrons de mieux sentir et comprendre les enjeux posturaux centraux.

10 séances pour vous donner des outils simples pour améliorer votre bienêtre au quotidien.

Je vous propose :

– un condensé d’exercices ciblés travaillant en profondeur

– une compréhensions accessible à tous-tes des principes anatomiques essentiels

– de nouvelles perceptions positives pour les zones qui coincent

Grâce au « micro-groupe », vous bénéficiez d’un regard et d’une attention privilégiée. 

Je suis à l’écoute de vos questions et de votre rythme pour que vous repartiez enrichis après les 10 séances.

Tarif (par Binôme) :

10 séances 400€

Cours Individuels

Tarif :

A l’unité : 45€ (1 heure)

10 séances : 370€

Témoignages

• Quel moment agréable et utile avec Yendi ! Ces derniers  temps je me sentais un peu lourde et physiquement repliée sur moi-même. Je suis repartie  avec un sentiment longiligne et libérée.  Et le travail autour de la colonne vertébrale m’a donné l’impression d’avoir vécu une « auto-séance  » ostéopathie. Élégance, discrétion et douce humour émanent de cette belle personne. »
  Monica Postma Legros

• « J’ai rencontré Yendi suite à un gros choc de la vie où mon corps était tout le temps en état de douleur – parfois immobilisante. Yendi nous fait travailler à tout remettre en place – à ce que notre corps retrouve son centre et les liens entre ses différentes parties. Même à distance, Yendi a une présence apaisante et tonifiante, une voix chaude même sur internet. Ses exercices sont extrêmement variés – on ne se lasse pas – ses explications claires. En 6 mois elle m’a redonné force et courage physiquement et mentalement. Merci. » – N, 56 ans

• « Sur le seuil d’un atelier animé par Yendi Nammour, tout commence par l’écoute et l’accueil du visiteur tel qu’il se présente silencieusement avec son histoire corporelle, ses revers, ses blessures, ses joies et ses territoires inconnus.
  La recette est alors simple : se laisser d’abord glisser dans l’enveloppement de sa voix, puis suivre son regard et ses mouvements.
  Qu’elle nous emmène tout autour de notre bassin et de la redécouverte de sa mobilité, du côté de nos appuis : pieds, coussinets, mains et pulpes des doigts qui portent ou touchent notre corps et le monde alentour, ou le long de notre colonne, notre axe, notre respiration et ce qui s’y crispe ou s’y rétrécit à force de travail sédentaire, de sollicitations d’un monde replié et désenchanté, c’est à chaque fois un surprenant chemin de retrouvaille avec nous-
  mêmes. En d’infimes mouvements et minuscules prises de conscience ou en de plus amples circulations et respirations toniques ou relâchées, l’épiphanie a lieu.
  Et c’est un émerveillement : « Tout cela est donc à moi ! Oh combien je l’avais oublié ou peut-être même n’en avais-je pas pris connaissance… »
  Travail dans la verticalité, au sol ou allongé, chaque partie du corps se réanime, s’étire, se densifie, se relie aux autres dans une architecture imagée et équilibrée, celle que propose avec une simplicité déconcertante la Spiraldynamik.
  Mais, ce n’est pas tout : après la renaissance et l’adoption – sans conteste – de ce rituel régulier et rythmé qui devient le sésame d’un bien-être évident, l’atelier de Yendi Nammour nous ouvre une échappée poétique à chaque fois singulière.
  Comme un atelier d’écriture dansée, la pédagogue nous enseigne un lexique de quelques mouvements, un alphabet de différentes matières et intensités.
  Et lorsque la musique surgit à une ou deux reprises pendant l’atelier, à partir des nuances mélodiques et rythmiques et grâce à la palette des gestes travaillés, les participant.e.s composent et improvisent un paysage mobile où notre corps exprime le monde : alors nos cheveux deviennent des lianes dans une danse végétale ; nos mains et nos pieds repeignent de manière lente ou frénétique tout le territoire de notre intérieur ; nos bras et nos jambes se transforment en herbes folles d’une prairie perdue ; nos mouvements ronds et spiralés rejoignent la bourrasque qui nous emporte sur le sable atlantique du bord de l’océan ; ou encore notre bassin, par ses déhanchés souples et saccadés, évoque la rotation d’une planète qui berce, puis met en orbite ses rejetons que sont toutes nos extrémités.
  Comme le dit Yendi Nammour, l’atelier ré-ouvre « un espace à l’intérieur de nos articulations », un souffle dans le creux de nos mouvements, si bien qu’en nous cela bouge et s’amplifie, là où tout était figé et amoindri.
  Et le voyage se fait à chaque fois dans l’allégresse d’une métamorphose renouvelée. »

Arlene D. Khoury, le 4 mars 2021

Crédits image : Vincent Sojic, Rima Maroun, Loeïza Jacq, Yann Marquis.